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Les TMS entrainent des 45 % des incapacités permanentes

Les maladies professionnelles, et plus particulièrement les TMS, représentant aujourd’hui 95%, ont donné suite soit à un arrêt de travail soit à une réparation financière en raison de leurs répercussions. En d’autres termes, ces dernières peuvent devenir des blessures irréversibles et entrainer un handicap durable.

QUE SONT LES TMS ?

Les TMS sont les troubles musculo squelettiques , ils s’installent de manière progressive suite à la répétition de petits mouvements sollicitant les mêmes muscles et articulations. Autrement dit, ils s’expriment par de la douleur, de la raideur, de la maladresse ou encore une perte de force.

Qui est concerné et quels sont les impacts ?

Le salarié

Les conséquences des TMS pour les salariés sont représentées par des douleurs à répétition, des restrictions d’aptitude. Elles peuvent dégrader, à long terme, vous salariés, soignants, votre qualité de vie menant parfois à une désinsertion professionnelle.

Par ailleurs, un cas TMS peut en provoquer d’autres dû aux remplacements répétés, à la modification de la répartition des tâches ou encore à la dégradation du climat social.

TMS
L’entreprise

Les conséquences des TMS d’un salarié ont un impact négatif sur le fonctionnement de l’entreprise. Nous pouvons prendre comme exemples l’absentéisme obligeant à devoir accueillir les remplaçants, le turn over, ou encore une baisse de productivité. En d’autres termes, les TMS diminuent la performance de l’entreprise.

quels sont les différents facteurs de risques parmi différents métiers ?

Les facteurs de risques physiques : gestes répétitifs, travail statique, efforts excessifs (le port de charges lourdes), les postures inconfortables (bras au-dessus du niveau des épaules), les mouvements à forte contrainte articulaire (torsion du poignet).

Les facteurs de risques psychosociaux et organisationnels : En fonction du volume de travail sous contrainte de temps, d’urgence et du nombre d’acte de soins différents mais pas que…Le trajet travail domicile, le mode de transport, l’environnement social et familial ; le temps de repos sont autant de facteurs important à prendre en compte

Un exemple des plus touchés

Une étude* démontre que 94% des maladies professionnelles reconnues dans les EHPAD découlent des TMS. Les salariés des EHPAD sont donc principalement les premières victimes.

*Source : Assurance Maladie

Quels objectifS pour Optionomy ?

Ainsi, comment Optionomy participe à la réduction des TMS ?

Avant tout, il faut savoir qu’un TMS de l’épaule est le travail fréquent ou de longue durée avec les bras au-dessus du niveau des épaules, le port de charges lourdes ou encore les tâches répétitives exigeant d’élever le bras loin du corps. Les épaules sont en effet la deuxième partie du corps à être touchée par les TMS.

Par suite, en collaboration avec les services de soins, Optionomy mène en permanence des recherches pour améliorer les conditions de travail et proposer de nouveaux produits innovants. Ceux-ci apportent une réelle amélioration du confort de travail, préviennent les TMS et augmentent la productivité des services. Si vous souhaitez en savoir plus sur Optionomy, rendez vous sur le lien de l’article Hospimédia

Par exemple, vous, soignants, les répétitions successives d’accroche et de montage des poches de NaCl donnent naissance à d’importants problèmes d’épaules. Nous proposons des produits uniques sur le marché réduisant nettement ce type de douleur puisque l’accroche des poches se fait en-dessous de la ligne d’épaules et leur montée est automatique. Le produit en question est le pied à perfusion à hauteur variable automatique.

Les conséquences socio-économiques du développement des TMS

Au niveau individuel : incapacités fonctionnelles, souffrances pouvant compromettre le maintien dans l’emploi, la réalisation de tâches de la vie courante.

Social et familial : perturbation de l’équilibre de vie personnelle (loisirs limités).

Au niveau des entreprises : entrainement de coûts élevés directs et indirects.

Sociétal : obligation de renforcements législatifs, mise en œuvre d’une politique d’accompagnement adaptée.

La démarche de prévention

Premièrement, la phase de dépistage : le but est de dépister les situations à risque

Deuxièmement, la phase d’intervention

  1. Mobiliser : la direction doit s’engager à adhérer à la démarche de prévention proposée par les préventeurs .
  2. Investiguer : le but est de rechercher des données sur la santé des salariés (symptômes précurseurs et pathologies) et celle de l’entreprise
  3. Maîtriser : l’objectif est de transformer les situations de travail en élaborant des solutions suite aux pistes de prévention déterminées antérieurement