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Pied à perfusion automatique sur batterie

Un pied à perfusion à hauteur variable automatique sur batterie, pour quel services ?

Ce pied à perfusion automatique sur batterie s’avère un excellent allié lors d’interventions chirurgicales en urologie essentiellement et moins fréquemment en gynécologie et orthopédie, service de réanimation chirurgicale ou cardiaque ou service de dialyse péritonéale.

Bref, dans tous les services où l’on pratique les irrigations ou lavages de vessie

Pied à perfusion à hauteur variable automatique

Qu’est-ce que l’irrigation vésicale ?

En premier lieu, l’irrigation est un lavage mécanique de la vessie. Le principe est de faire passer en continu un courant de liquide dans la vessie et de l’évacuer dans un sac recueil de drainage. En bref, le but est d’éviter ou d’évacuer des caillots sanguins dans la vessie. Les indications sont sur prescription médicale en interventionnel et post interventionnel lors de certaines interventions chirurgicales.

Par conséquent, ce pied à perfusion à hauteur variable automatique vise à prévenir et réduire des TMS chez le personnel soignant. Il annule une tache répétitive : l’accroche et l’élévation de poches de 3l ou 5l au-dessus de la ligne d’épaule.

Un exemple tout au long de la chaine de soins

En effet, durant une intervention chirurgicale en urologie, le patient subira un lavage ou drainage vésical (en fonction de la technique opératoire et du patient). La panseuse (ou panseur) charge le pied à perfusion automatique de poches de 3 à 5 l. Pour que le chirurgien ait une bonne vision de la zone opérée, on injecte beaucoup de liquide (de 10 poches de NACL à parfois 30 poches soit 90 kg supportés pour une seule intervention).

Puis, le drainage vésical continuera en SSPI et ce sera au tour des infirmières de ces services de souffrir…

Les avantages du pied à perfusion automatique Lifti sur batterie 

Le point d’accroche des poches se situe en dessous de la ligne d’épaule.

Le pied à perfusion supporte 10 poches de NACL réparties sur 3 crochets.

Grâce à la pédale, le soignant monte les poches à 2,50 m du sol (sans effort).

Système de vis sans fin.

Plateau pour déposer les ustensiles ou le stock de poches de sérum physiologique.

140 cycles de montée-descente avant la recharge du pied à perfusion automatique.

Que ce soit des interventions réalisés avec le Robot Da Vinci ou le laser Holep, le lavage continue en effet dans le service d’urologie. Le soignant continue d’alimenter avec fréquence de poches de NACL dans le service. Par conséquent et jusqu’à J+1 après l’opération, le soignant change les poches toutes les 20 à 40 mn.

Le pied à perfusion automatique hydraulique

C’est au contact de nombreux soignants et cadres de santé que nous avons rédigé le cahier des charges du pied à perfusion hydraulique. En effet, dans certains services d’hospitalisation, les contraintes sont différentes tant au niveau architectural que patientèle accueillie.

Le point d’accroche des poches se situe en dessous de la ligne d’épaule.

Le pied à perfusion supporte 6 poches de NACL réparties sur 3 crochets.

Grâce à la pédale, le soignant monte les poches à 2,30 m du sol (sans effort).

Système hydraulique et ‘écologique’.

Crochet ‘porte drainage’ pour la récupération de fluides corporels du patient.

Poignée de déplacement pour les transferts courts du lit/fauteuil, fauteuil/toilettes.

Possibilité de l’accessoiriser avec un plateau ou un support pour adapter des pousse seringues électriques.

Pied à perfusion hydraulique

La fréquence de ces changements, le poids des poches, la hauteur d’accroches entraine une souffrance quotidienne réelle. Il n’est pas difficile d’envisager de nombreux cas de capsulite rétractile ou autre tendinopathie de la coiffe des rotateurs dus à ces mouvements au bout de quelques années d’activité.

Existe-t-il des aides pour ces pieds à perfusion automatiques sur batterie ?

Ces achats de pied à perfusion automatique sont souvent l’objet de projets de prévention menés dans les établissements, financés en partie par les ARS (agences régionales de santé) ou CARSAT en fonction de la nature de l’établissement (public ou privé). Ils font l’objet de réflexions et études de postes par :

  1. La médecine du travail
  2. Les conseillers en prévention des risques professionnels
  3. Les ergonomes
  4. Les formateur(trice)s PRAP

De temps en temps, ils sont accompagnés financièrement dans le cadre de maintien dans l’emploi d’un salarié reconnu RQTH.

Quels sont les établissements équipés ?

Les établissements déjà équipés (liste non exhaustive) : Hôpital Cochin, Institut Mutualiste Montsouris, Hôpital privé Saint Martin, Elsan Le Languedoc, Capio Belharra, Centre Hospitalier Côte Basque, CHRU Lille, Centre Hospitalier Côte d’Argent, CH Libourne, Elsan Saint Augustin, Capio Les Cédres, CHU Nantes, votre établissement bientôt ?

Vous avez des questions ou souhaitez des renseignements ? Contactez-nous au 09 83 33 30 21.


La vidéo d’utilisation est disponible ici.